Accords de niveau de service et modèle de réputation pour le contrôle d'usage

mai 20, 2014·
Elena Jaramillo Rojas
,
Philippe Aniorté [Dir]
,
Manuel Munier [Co-Dir]
· 1 min. de lecture
Résumé
La sous-traitance de services est devenue une nouvelle forme d’interaction pour les entreprises en leur permettant de se concentrer sur leur cœur de métier en profitant des avantages des architectures orientées services. La collaboration résultant de cette sous-traitance entraîne la création de services composés et de workflows complexes dans lesquels le client d’un service partage des informations sensibles avec d’autres organisations externes et indépendantes. Dans un tel contexte inter-organisationnel, plusieurs défis restent à relever par la communauté. Tout d’abord, le partage explicite de données entre les différents partenaires engendre une perte de contrôle sur les données passés au(x) fournisseur(s) de service(s). Deuxièmement, la complexité de la chaîne de processus nécessite de définir des stratégies de gestion de la confiance et de gestion des responsabilités (et des pénalités) en cas de mauvaise exécution des tâches prévues. Troisièmement, la création de workflows dynamiques permet de poursuivre ces interactions inter-organisationnelles malgré des comportements défectueux tout en préservant le niveau de service requis par le client. Finalement, les partenaires du workflow doivent prouver, dans leurs comportements, qu’ils respectent les politiques établies. Mais agissant comme des boîtes noires ils doivent garder leur autonomie. Dans cet article, nous présentons une nouvelle analyse de la notion d’accord de niveau de service (SLA) appliquée au contrôle d’usage des données.
Type
Publication
In Forum Jeunes Chercheurs à INFORSID 2014 (FJC'2014)
Lieu

Lyon, France, 20-23 mai 2014

Note

Ce travail est soutenu par le Conseil Général des Landes (bourse de doctorat à E.J.).